En région parisienne, la baisse de la concentration de PM2,5 dans l’air a permis d’éviter plusieurs milliers de morts prématurées en dix ans, mais aussi d’économiser des frais de santé. C’est le constat dressé ce vendredi 26 septembre par l’organisme Airparif, qui rappelle toutefois que la situation peut et doit encore s’améliorer.
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