C’est une grande première sur le continent africain : l’Université du Witwatersrand de Johannesburg (Wits University) a publié le 19 août une étude qui démontre que les mambas noirs peuvent devenir des alliés précieux pour mesurer la pollution de l’air. Longtemps perçus uniquement comme des prédateurs redoutables, ces serpents figurent désormais parmi les bio-indicateurs les plus fiables identifiés par la science.
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Cet article est apparu en premier sur : L’actualité autour de l’environnement en direct – RFI
