Pour le directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, l’absence de guerre entre grandes puissances depuis 1945 est en partie liée à la dissuasion nucléaire, doctrine qui est aussi un mécanisme psychologique, avec ce que cela entraîne comme limites à la rationalité.
Lire plus Read More
Cet article est apparu en premier sur Libération