Dans le Haut-Rhin, où 2 000 cervidés devaient être tués d’ici février, les chasseurs veulent laisser les fusils au placard, assurant que l’herbivore est en danger. Une association écologiste plaide, elle, pour une régulation plus efficace de l’espèce, qui empêche la régénération naturelle des forêts.
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