La chaleur extrême notée en 2022, conjuguée aux feux de forêt et aux poussières du désert, a eu pour conséquence notamment de dégrader la qualité de l’air, mais aussi des répercussions mesurables sur la santé humaine et l’environnement, a alerté mercredi une agence des Nations Unies basée à Genève, relevant que le changement climatique accroît l’intensité et la fréquence caniculaire.
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