France 3 Rhône-Alpes révèle ce mercredi 12 juin qu’Arkema a eu connaissance, à partir de 1997 au moins, de la «toxicité» de certains de ces «polluants éternels». La fabrication ou l’usage de certaines molécules a continué sur le site du groupe à Pierre-Bénite dans le Rhône bien après leur interdiction aux Etats-Unis.
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